Un chant arabe dans un village corse
L'affaire de l'école de Prunelli di Fiumorbo - 15/7/2015
L’émotion suscitée il y a un mois par l’affaire de l’école de Prunelli di Fiumorbo est aujourd’hui retombée.
On peut donc l’analyser de façon dépassionnée, en observer les tenants et les aboutissants et en tirer les conclusions.
De quoi s’agit-il ? Des enseignants, désireux de monter un spectacle pour la kermesse de l’école ont proposé aux enfants de chanter une chanson vantant la paix et l’entente entre les hommes.
Heureuse initiative dans son principe mais, là où le bât blesse, c’est qu’ils ont voulu que la chanson soit interprétée en anglais, en français, en corse et en arabe.
Si les trois premières langues ne posent pas de problème (la chanson est anglaise, les enfants sont français, l’école est en Corse), que vient faire l’arabe dans l’affaire. Pourquoi pas en grec (en solidarité avec un peuple en souffrance), en hébreu (la communauté juive et sa religion sont en Corse depuis des siècles), en espéranto (la langue universelles créée pour réunir les hommes) ou en latin (la langue de l’Eglise Catholique, religion majoritaire en Corse).
Pourquoi vouloir que des enfants innocents et qui ne voient pas le mal, chantent dans une langue qui est celle d’une religion dont on sait qu’elle prêche l’élimination des non musulmans (c'est-à-dire des enfants de l’école), l’asservissement des femmes (c'est-à-dire des fillettes de l’école), et la soumission servile à un dogme qui condamne le progrès et la liberté de penser (c’est à dire le rôle de l’école).
Il est évident que les enseignants responsables de cette bévue ne se sont pas rendu compte de ce que sous-entendait ce chant pour les pays musulmans qui lorgnent sur la France et méprisent son peuple. Quelle meilleure façon de leur dire : « Ecoutez, nous chantons dans votre langue pour que vous compreniez que nous attendons votre venue, que nous sommes des moutons bêlants et que nous chérissons d’avance le couteau qui va nous égorger ».
Ces enseignants ont cru bien faire sans comprendre qu’ils n’étaient que des pions manipulés par l’intelligentsia socialo-communiste au pouvoir, dont tous les actes n’ont pour but réel que de pousser notre pays vers la pauvreté, la servitude et la décadence.
C’est pour s’opposer à cette volonté d’asservissement que des parents d’élèves de l’école ont élevé une protestation et refusé que leurs enfants chantent en arabe. Il y a là un magnifique acte de résistance et une belle preuve de lucidité qui font honneur aux habitants de ce petit village corse.
Si tous les français pouvaient prendre exemple sur nous, bien des problèmes seraient résolus, en premier lieu ceux posés par l’immigration, la criminalité étrangère ou la dilapidation des aides sociales.
Malheureusement, tout le monde ne peut pas être aussi intelligent et courageux, ainsi que l’a montré la cohorte de béni-oui-oui qui ont défilé dans les journaux ou à la télévision, pour s’offusquer vertueusement du « racisme » des parents d’élèves, faisant une fois de plus la preuve qu’avec une bonne propagande, n’importe quel Etat peut conduire sa population à réclamer son propre suicide et y entrainer ses enfants.
Heureusement que le Front National veille au grain et que de plus en plus de citoyens le rejoignent, en sachant qu’il n’y a que lui qui puisse lutter contre la désinformation et redonner à notre pays sa fierté, sa liberté et sa prospérité.
Michel Leca