La rafle et le Président
Un communiqué du FN de Corse du Sud - 23/7/2012
Ce 22 Juillet, le président Hollande commémorait la rafle du Vélodrome d'Hiver, perpétrée en 1942 par l'Etat français aux ordres de l'envahisseur nazi. Ce fait marquant doit être l'occasion de rappeler quelques vérités souvent passées sous silence.
Et d'abord, que le nazisme (National Sozialismus) est avant tout un avatar du socialisme, au même titre que le bolchévisme, le communisme, le maoïsme, le castrisme et bien d'autres. Le socialisme a été et reste l'idéologie qui a éliminé plus d'innocents que n'ont pu le faire les pires despotes de notre Histoire.
Parti d'un postulat faux : « tous les hommes sont égaux », totalement contraire à l'extrême diversité de la nature, le socialisme n'a eu de cesse de tordre la réalité pour la rendre conforme à son dogme fondateur, en utilisant un moyen simple : éliminer ceux qui ne rentrent pas dans le moule imposé par le chef. Car si tous les hommes sont égaux, le socialiste s'empresse de rajouter « et ceux qui ne sont pas égaux ne sont pas des hommes ». Pour les nazis, ce furent les juifs ou les noirs ; pour les communistes, ce furent les nobles, puis les patrons, puis les étrangers, puis les paysans, puis les intellectuels, puis les juifs, puis finalement tous les opposants au système.
Un dicton connu nous dit : « ne pas être socialiste à vingt ans, c'est n'avoir pas de cœur ; être socialiste à quarante ans, c'est n'avoir pas de tête »
Monsieur Hollande, qui a 58 ans, se rendait-il compte, lorsqu'il présidait les cérémonies du souvenir, que le parti qu'il accuse et celui qu'il défend sont les deux faces d'une même doctrine ?
Bien sur, certains objecteront que Monsieur Hollande n'a rien d'un dictateur sanguinaire !
Pourtant, n'a-t-il pas, lors des cérémonies, rendu les français collectivement responsables des malheurs des juifs, comme l'oncle Adolf avait rendu les juifs collectivement responsables des malheurs de l'Allemagne ?
N'a-t-il pas ainsi, de sa propre autorité, sans consulter le peuple ni ses représentants, mis dans le même sac les collabos, mais aussi les résistants et même les juifs de France ? N'a-t-il pas, oubliant qu'il avait été élu pour défendre la France, mis celle-ci en accusation, piétinant ses devoirs et outrepassant ses fonctions ?
N'a-t-il pas ainsi imposé – dicté – sa propre vérité, premier pas vers de futurs abus ?
Les citoyens doivent rester vigilants et se rappeler que les mêmes causes produisent les mêmes effets. Que notre univers est inégalitaire et que ceux qui prétendent le contraire sont des fous. Et que la folie conduit aux pires débordements, surtout quand c'est elle qui commande !